100) Après les Papins et la bifurcation du 113 km, une longue partie tranquille de transition conduit en direction de Flobecq.

Il suffit de suivre!

101) A l’approche de cette bourgade on se retrouve un moment sur la piste cyclable longeant la route de Renaix.

On y repère, comme en d’autres lieux, le fléchage abondant, jaune et rouge, de la Picarde (et BAD) des Aiglons d’Ath qui aura lieu le lendemain.

102) L’accès au parking de l’école et du hall sportif de Flobecq se fait en aller et retour.

Alors on fait confiance aux signaleurs de la famille Boitel, ici Axel le fils, qui connaissent bien les lieux.

103) Ceux qui sont là ... sont là : à leur demande, la photo en atteste.

104) L’équipe Audax de service avec, à la manœuvre depuis toujours, Josse et Firmin.

105) Bon frontalier pour le ravito qui leur permettra d’activer le retour.

106) Ce grand cyclo costaud tenait absolument à montrer son équipement marqué du B de son patron :

Beeuwsaert Construct.

Voilà qui est fait !

107) A côté des aliments solides, la boisson du jour est forcément fraîche puisqu’il fait 15-16°.

108) Puis de quoi remplir les bidons, car on ne lésine pas sur l'offre.

109) Signe d’une organisation soignée, ces conteneurs poubelles placés bien en vue.

Et accessibles.

110) Autres services appréciés, celui des soins mécaniques par un vélociste et des soins physiques par la Croix Rouge disponible.

111) Puis Daniel et Axel Boitel pour orienter le flux des entrants et des sortants.

112) Retour à la chaussée de Renaix où le signaleur André Doyen gère la sécurité des cyclos et des automobilistes.

113) Alors lorsque les vélos sont libérés, ils démarrent, ici par deux, sur les chapeaux de roue.

114) Rappelez-vous, B c’est Beeuwsaert Construct : de vrais costauds, pas des « bleus » !

PS : Bâtiments d’entreprises à Ledegem

115) Ultime bifurcation : à gauche le 157, c’est déjà pas mal !

116) Encore mieux, tout droit pour le 173 km via la côte du Hurdumont.

D’où les encouragements des gamins en bord de route.

117) C’est court et pentu, le Hurdumont sur 600 m à 9,5 % de moyenne et avec un max de 15 %.

118) Ce qui n’empêche pas la surprise d’un sprint inattendu chez les costauds de Racquinghem,

Avec débordement éclair de celui de "l’extérieur" !

119) La moto va rester sur les hauteurs de ce que l’on appelle la « route des crêtes de la Région des Collines » au lieu de plonger sur Ellezelles. Les cyclos ont tout remonté pour arriver au sommet de Cinquant où Jean-Philippe … fait travailler son jeune garçon !

20) Un peu plus loin, c’est le carrefour scabreux du Cat Sauvage.

121) Si le lieu est pittoresque, la traversée est franchement dangereuse.

D’où la protection.

122) Carrefour d’autant plus compliqué que certains cyclos arrivent par un chemin détourné.

123) Les cyclos sont, généralement, de bonne composition et prêts à attendre un peu.

124) En tous cas la difficile mission de Christian et Alain a été menée à bien :

pas de problèmes, mais pas eu le temps d'utiliser les fauteuils.

125) De là on se retrouve vite au Beau Site, abordé par le côté « Arabie ».

126) On peut songer « au démon » quand on escalade le Grinquier pour remonter sur la ligne de hauteur séparant Frasnes et Saint-Sauveur.

127) Le tracé est démoniaque puisqu’il s’amuse à passer d’un versant à l’autre.

128) Ceci pour le grand honneur de passer une nouvelle fois au sommet, au lieu dit « Haut des Monts ».

129) Avec l’impression de sortir de nulle part, si ce n’est de l’Enfer quand on a les cuisses qui brûlent !

130) Le lieu est tellement prisé que s’y croisent, outre deux des motos de l’organisation, les cyclos d’une autre grosse organisation.

S’y retrouvent aussi les flèches des Aiglons d’Ath !

131) L’autre motard qui joue son rôle de sécurité dans les course est également cyclo.

Il milite aux Dragons Audax Mons et connaît la particularité des pédalées cyclotouristes.

132) Le pied de la rue des Monts sur Saint-Sauveur nécessite deux signaleurs .

Arthur et Pierre ont dû faire face à l’affluence liée à un mariage avec cortège de voitures.

133) Retour au Hameau de la Croisette mais via le versant ouest cette fois, à la sortie de Saint-Sauveur.

134) Cette côte, pittoresque, laisse le souvenir d’une montée non excessive …

sauf qu’elle semble interminable.

135) On en vient à bout puisque nous voilà revenus au ravitaillement de l’école de Frasnes.

136) Regroupement des « Top Care » qui n’est rien d’autre qu’idéal.

137) De même pour les Magicrème dont on saura qu’ils sont bien revenus à Frasnes.

138) Si l’abondance et la variété sont toujours de mise, le maître-queue devra bien reconnaître qu’il a oublié de changer de menu.

139) Alors c’est reparti pour les fruits et autres biscuits.

140) De quoi déborder d’énergie à la fin, surtout que c’est ravitaillement pour tout le monde.

141) Et les boissons qui ne cessent de couler dans des gosiers sans fond ?

42) Reste au groupe de Koekelare à se concerter sur la stratégie pour rentrer groupés.

143) Puis, comme par acquis de conscience, quelques barres énergétiques d’ultime renfort...

144) Le Monsieur Propre n’ayant pas terminé ses tournées, voilà qu’il retrouve d’anciens compagnons de route.

Sous les couleurs de Cycleers, désormais.

145) Renfort apprécié d’un nouvel Audax qui découvre les joies du « métier » de Jean-Luc.

146) La mission comporte son lot de relations publiques.

D’où les encouragements à l’équipe du patron de la revue Grinta ! Wim Wullaert.

147) Moral au beau fixe avec le vent dans le dos, venant du littoral, avec les cyclos de Bredene.

148) Reprise des machines car, comme disait Wim :

« Quand il faut y aller, on y va ! ».

49) Sans savoir à ce moment, qu’ils allaient vers un fameux piège car la route du « Trou Robin » c’est le contraire d’un trou qui fait descendre.

Du moins de ce côté-là.