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VTT A ANTOING RANDONNEE DES CARRIERES

Au cœur d’une région et d’un « canyon » industriel.

Le Jeudi 11 Novembre 2004

La Randonnée VTT des Carrières à Antoing (départ de Bruyelles) est un événement pour ne pas dire un monument. Organisé par un club cyclo qui accueilli 956 participants dont 662 cyclos, un jour d’Armistice.

Il a fait beau et sec, malgré le temps gris du jour et la pluie de la veille, pour la Randonnée VTT des Carrières d’Antoing. Départ et arrivée du Terrain de Foot de Bruyelle, en plein cœur du « Pays blanc » marqué par l’exploitation des carrières de pierre calcaire pour le gravillon et le ciment.

C’était un jour férié, commémorant l’Armistice du 11 Novembre 1918. A Bruyelle, se trouve un cimetière avec des tombes de militaires américains tombés chez nous durant la guerre 39-45. Donc l’autre Guerre Mondiale. Merci aux deux cyclos qui nous permettent de rendre hommage à tous les soldats …



01) On entre dans la buvette du club de Foot pour recevoir le carton d’inscription.

02) Commence alors le devoir d’écriture. A gauche, Pascal Clément se montre très appliqué. Les autres vont copier sur lui!



03) Puis il faut passer à la table d’inscription et acquitter les 2€ réclamés aux affiliés.

04) Le club organisateur a recruté un maximum de bénévoles dont, ici, Roland Besard et (ancien président du C.T.A.) Alex Debrue.



05) De Wasquehal et d’ailleurs, les Vttistes Français sont près de 200 sur les 662 engagés du jour. Ils vont apprécier un parcours très original.

06) Ceux Annoeullin, entre Carvin et Lens sont venus avec l’équipement remorque du club. On les reverra sur la route, plein d’entrain.


      Quittons le terrain des footeux.


07) Le départ se prend du terrain de foot de Bruyelle, même si, en fait ce sont les installations (buvette et douche…) qu’ont retenues les organisateurs d’Antoing, les deux patelins étant de la même Entité.

08) Départ pour un amical quatuor qui a rempli toutes les formalités avant de se lancer dans l’aventure. Beaucouo de Vttistes sont « individuels ».



09) La randonnée des Carrières, commence par une ancienne « carrière », ici un ancien chemin conduisant vers le village. Mais les carrières qu’on espère, sont celles de l’extraction de pierre.

10) Dès le départ, comme pour une première sélection, se dresse un talus de cinq mètres. Un mur et pas de courte échelle !



11) Les plus intrépides passent sans coup férir. L’obstacle n’est pas insurmontable, mais on en a vu beaucoup à pieds.

A gauche, deux cyclos de Wasquehal un peu masqués... Parmi eux Dominique Ducatez qui trouve que le résultat du travail sur le site est "Super"!

12) Pour ceux-là, de dos, la rampe avait bien commencé. Puis ils ont été victimes de l’embouteillage.



13) Paysage bucolique, très furtif. La Randonnée des Carrières c’est tout… sauf ce genre de paysage !

      Début de carrière, le cœur de la randonnée.

14) Entrons dans le vif du sujet avec l’entrée de la Carrière exploitée par Cimescaut. Accès exceptionnellement libre et donc réservé à l’organisation d’Antoing. Ceci grâce à la sollicitation du Président d’Antoing, Michel Moulin, qui a fait « carrière » … dans la carrière.



15) Les Bikers sont autorisés à prendre la piste qui longe les installations de broyage de la pierre.

16) Le broyage réalisé les granulats se retrouvent dans des tas différents selon la grosseur des cailloux qui serviront, par exemple, à l’enduisage des routes. D’autres cailloux iront vers la clinckerie pour la production de ciment.



17) Les groupes de cyclos défilent dans le paysage industriel des « roctiers ». Le mot désignait les travailleurs qui s’attaquaient au « roc », à la roche.

18) Les sentiers ne manquent pas de relief. La plongée, ici, nécessite une bonne vigilance car la pluie de la veille a rendu la piste glissante. Et attention aux éclaboussures de boue calcaire.



19) Après les installations de base on va se diriger vers la carrière proprement dite. Pour en faire le tour.

20) Tiens voilà des Audax. Pris au dépourvu le photographe a loupé son cadrage.



21) Qu’à cela ne tienne, les compagnons connaissent la chanson. Ils repassent pour la photo de groupe. Dommage que les 21 Audax du jour ne soient pas passés en même temps.

22) Sur le rebord sommital, les Bikers ont le souffle coupé : la vue est superbe. Ceux-là en profitent pour s’arrêter et contempler.

Cette photo a eu grand succès: En rouge c'est Olivier Mercier, dit Félix, de Tournai, qui a rencontré Cédric Vion, dit CédVTT, des environs de Valenciennes, sur un forum VTT. En bleu deux autres copains du Valenciennois, dont SIADO qui recommande le site: http://lervttaniche.ifrance.com/



23) Jackie Devreese et Marcel Lefebvre (ce dernier a fini dans l’eau du Parc du Prince de Croy sur le reportage de la Jubaru Bikers) prennent le risque de frôler le précipice pour être, une nouvelle fois, sur la photo.

24) La descente qui s’ensuit est fantastique.



25) Le prix à payer aux cailloux, au moins pour ceux-là, c’est la réparation d’une fuite. Sans doute un pincement de chambre à air.

      Sur le parking du matériel d’extraction.

26) Deuxième, ou troisième ( ?) grans moment de la randonnée : le passage devant les bulls et les camions de transport des roches tirées de la carrière avec les tirs de mine.



27) Le trio d’Audax se mesure au matériel. Comparez avec la hauteur des roues. Imaginez le travail. On se trouve ici dans la 3e carrière plus importante du Tournaisis, lesquelles sont parmi les plus importantes d’Europe.

28) L’avantage du tandem, c’est que le convoyeur a tout le temps de regarder le matériel, le pilote s’en tenant à la direction sur la piste.



29) Encore un passage de VTT devant les bahuts. On ne se lasse pas de voir les différences de taille.

30) Et voilà une photo « interactive », envoyée par l’ami Willem Penninck qui, appareil photo en poche, participe ainsi à la qualité des reportages d’un site qu’il trouve « Merveilleux ». Merci Willem.



31) La visite de la carrière n’est pas terminée. Nous allons maintenant attaquer une butte qui élève de 60m. C’est un « terril » constitué par les terres de « découverture », la terre qui se trouvait au dessus de la roche.

32) Le temps d’un petit bonjour de l’ami Marc, d’Espierres, qui, cette fois, au milieu de ses copains donne des nouvelles de sa maman, à laquelle je fais donc un grand bonjour.



33) On va profiter de ce croisement, aller et retour au sommet du terril, pour faire une pause. La suite de nos émotions dès le prochain reportage sur la Randonnée des carrières.



Merci de me rester fidèle et de ne pas vous égarer sur d’autres chaînes. Et merci de me donner le temps de préparer la suite, car mine de rien, c’est du boulot un reportage.


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