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EXPLORATRICE MURIEL CORDIER A PEKIN

De la poudre … aux yeux.

fin Octobre 2004

L’Audaxette Muriel, quand elle ne Diagonalise, ne BRMise ou ne Picardise pas, invente de la poudre (à lessiver) pour une firme qui a pignon sur rue à Bruxelles, à Londres, à Cincinnati et même à Pékin.

Voici un « reportage » plus vrai que nature. Muriel Cordier, qui vient de passer huit jours à Pékin (Merci patron !), nous livre ses photos de vélos pékinois. Les commentaires ne sont pas de Muriel. Il y a donc quelques petites erreurs d’interprétation qu’elle devra nous pardonner. Que Mao, (toujours vivant ?) la bénisse.



01) « Moi, Muriel Cordier, je suis bien arrivée à Pékin pour une semaine d’études professionnelles, fin Octobre 2004. » La preuve en image.

02) La photo montre qu’il ne lui a pas fallu longtemps pour s’adapter à l’outillage local. Sage précaution, elle a préféré le plat de nouilles au plat de riz. Et, chance supplémentaire, ce jour là on ne servait pas de petits pois à la cantine.



03) Première démarche, Muriel s’en va consulter les divinités locales qui, en Chine, jouent le rôle du Forem en Belgique ou de l’ANPE en France : « Qu’est-ce qu’il y a comme travail pour moi, ici ? »

04) Sa demande rencontre un écho : « On a besoin de Lénor ». Le service d’ordre pékinois est alors déployé pour l’escorter.



05) Venue pour une semaine exploratoire, Muriel avait pris la précaution d’emporter quelques bagages. Elle les fait transporter par les taxis locaux.

06) Pékin est fidèle à sa réputation de circulation très encombrée. Le trafic se partage désormais entre les vélos et les autos. Et voyez, en arrière plan, la rénovation des plus grands bâtiments. Tout sera beau pour les Jeux de 2008.



07) Et Pékin fait la preuve de son modernisme. A Tournai on ne dispose pas encore de parkings vélos de cet acabit.

      Tchin, Tchin, Tchin, des Chinois.

08) Vu la chaleur de l’accueil, Muriel ne tarde pas à se faire un régiment de petits copains. Avec eux, des petits trous, on saura pourquoi, Célimène.



09) L’accueil est vraiment à la hauteur des espérances : Muriel arrive devant le modeste appartement que la firme lui a réservé.

10) Mais, car il y a un mais, si Muriel aime bien l’appartement, elle le trouve très mal meublé. Première grande déception.



11) Les déboires se succèdent quand on lui démontre qu’il n’est pas facile de gagner sa vie à Pékin : « Voyez ce marchand de glace sur triporteur. Son bénéfice ne couvre pas les frais de route de sa grosse voiture.»

12) Et plus loin, la dure réalité chinoise apparaît à notre aventurière. Là-bas, la bonne fortune se joue à coups de dominos.



13) Muriel exige de rencontrer le patron de la firme de poudre Elle veut qu'il lui montre la place promise. On ouvre la fenêtre qui donne sur le parc où le patron est en plein travail. … Mais la "place" est déjà prise !

14) L’héroïne fait preuve de caractère : « Si c’est comme cela, je reprends tout mon brol. Et je m’en vais à Tchin … Tchin … Cinnati », aux Etats Unis.



15) Même qu’elle pavoise, tout en félicitant Moustache, car elle pourra montrer qu’elle a porté le maillot des Audax Tournai (et non pas le maillot des Audax Chintok !) dans les rues de Pékin.

16) Après tant d’émotions, il ne lui reste qu’à conclure : « Quoique vous rouliez, Joyeux Noël ! » Le sapin est déjà dressé sur la Place Tien Anmen de Pékin.




Bien entendu, le temps de la découverte fut trop court. N’empêche que les photos de Muriel permettent de mesurer l’avance des Chinois sur nous autres. Ils roulent encore à vélo.


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