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A COURTRAI LE SALON VELOFOLLIES DES MACHINES ET DES HOMMES 2014

Visite sous le signe des bonnes rencontres

le Vendredi 17 Janvier 2014

Il y a 35000 façons de visiter le Velofollies de Courtrai, dans les 6 Palais de l’XPo Kortrijk, en moins de 3 jours. Ici on va privilégier les rencontres de visiteurs et les stands qui favorisent le cyclotourisme.

01) Faute de pouvoir y être le samedi (sortie club !) et le dimanche (Chicon Bike Tour) voilà l’ouverture du 8e Vélofollies de Courtrai le vendredi à 14h avant 35000 visiteurs.

Ruban coupé, par le gouverneur de Flandre Occidentale Carl Decaluwé et le bourgmestre de Courtrai Vincent Van Quickenborne, sous la houlette de Pieter Desmet le « Senior Exhibition Manager Velofollies », autrement dit le patron !



02) Les autorités s’arrêtent d’abord au stand des cycles Sciatto qui ont l’avantage de se trouver, palais 2, proche de l’entrée XPo Zuid.

On les quittera vite sachant le programme, de 14 à 21h ce vendredi, est copieux avec 280 exposants répartis, en six palais et une « rambla ».

On ne verra pas tout ni tout le monde !

Mais on verra souvent Moustache, le président des Audax Tournai venu pour soigner ses relations.

03) On n’a pas loupé l’occasion de visiter le stand Wattitud, de Tournai svp (chaussée d’Audenarde), qui propose des VAE.

Donc des vélos à assistance électrique qui font actuellement le forcing.



04) Nos bons Tournaisiens ne manquent ni d’humour, ou de réalisme ( ?), pour l’appellation de leurs machines de rêve.

A côté de l’E-Stone et l’E-Rock (Rando) voici leur E-Po … pour le sport !

05) En exemple d’une des nombreuses marques prestigieuses présentes à Courtrai voici les Cervélo mis en lumière par l’équipe Garmin-Sharp.



06) Belle prestance aussi des cycles Flanders qui illustrent la force cycliste régionale.

La particularité du Velofollies de Courtrai est de mettre en évidence aussi bien les marques régionales et même locales que les grands noms mondiaux.

07) Alors chacun s’emploie à se faire connaître.

Par exemple les machines Olympia, peu connues mais bien dans la tradition italienne, qu’on trouve aussi en France chez Serge Pieters à Roubaix et à Tourcoing.


      Couleurs nationales


08) On sera vigilant dans un pays fédéralisé à repérer les couleurs nationales.

Ainsi cet équipement destiné au Gruppo Sportivo Grinta ! qui lance sa « Communauté cycliste » (Community) en lieu et place de son team cyclosportif.

09) Ceci avec l’implication de Bart Vandamme, qui a brillé dans nombre de cyclosportives françaises comme la Marmotte, avec le soutien de la revue Grinta !



10) Une revue Grinta ! qui, distribuée en Flandre et aux Pays Bas, est dirigée par Wim Wullaert.

Celui-ci a trouvé un terrain d’action dans la région des Collines avec la Grinta ! Challenge la Tournay avec le concours des Audax Tournai et de leur président Michel Duhaut.

11) Les Audax Tournai présents à l’ouverture du vendredi s’étaient fixés rendez-vous au stand de la revue Grinta !

D’où les salutations du directeur qui se fait une fierté d’avoir roulé toutes les « Grinta ! » fléchées par les Tournaisiens.



12) Tant qu’à faire d’être réunis à Vélofollies, au stand Morgan Blue (Belgian Quality Brands) les Audax se sont concertés pour un nouveau maillot du club :

toujours en bleu bien entendu mais avec Audax d’un côté et Tournai de l’autre.

Avec un petit vélo à hauteur du nombril au lieu de leur cathédrale.

      Rencontres de salon

13) Maintenant qu’on a le maillot l’idéal c’est la belle et bonne machine qu’il faudrait trouver.

Pour cela le stand Pinarello italien est tenu par l’importateur belge Pieter Schroen (ancien coureur professionnel) dont le nouveau show-room est installé à Waremme.



14) On peut toujours rêver mais on n’hésite pas à poser devant l’un des nombreuses machines exposées.

Dont ici un Dogma dont la réputation n’est plus à faire puisqu'il équipera le Team Sky.

Mais Carine hésite encore un peu !

15) Le hasard fait que les Audax Tournai croisent le pérulwézien Jacques Hostens qui a beau jeu de se rappeler à leur bon souvenir :

« Je fus, sociétaire de la Pédale Saint-Martin, l’un des fondateurs fin 1972 du club Union Audax Tournai qui a volé de ses propres ailes à partir de 1973. »



16) Une allée plus loin, c’est l’équipe des cyclos d’Escanafles, conduite par André Cloet, qui est rencontrée.

Avec une pose devant le portrait Tom Boonen dont l’équipe Quick Step est habillée par Vermarc.

17) Attentifs les cyclos de Vaulx, Patrick, Jonathan et Jacques, avait remarqué au stand Cannondale le vélo de Peter Sagan :

« Cette machine à son nom porte des griffes d’usure et peut-être de chute ».

Sans parler de la moindre usure du pneu avant tant le champion pratique le « wheeling » après ses victoires !



18) Certitude quand on croise un ancien vélociste lillois comme Roland Lécolier, dont les fils ont repris le Specialized Store concept de Lille, au stand BH espagnol :

« Au contraire de certaines marques comme Look, BH a bien fait de miser sur le « 29 pouces » qui révolutionne la pratique du vtt ».

19) A cela s’ajoute une autre nouveauté du côté développement :

un seul plateau de 32 à l’avant et 11 pignons allant du 10 au 42 à l’arrière !


      Hommes et machines


20) Retour au stand Pinarello car on a croisé l’importateur des machines de la marque italienne en France, Antonio Correia qui rapporte:

« Je viens de croiser le patron du Salon de Paris intrigué par ce Velofollies. Moi j’ai compris que c’était une réussite pour tout le monde ! »

21) Ce n’est pas Dietrich Schroen, son collègue belge Pinarello, qui dira le contraire.



22) Mais il n’y a pas que des vélos au Velofollies. Il y a aussi des livres sur le vélo.

Dont celui-ci, repéré par Moustache, écrit en néerlandais mais sous un titre bien français : « Vive le vélo ».

23) Particularité « régionale » du Velofollies nombre de stands annoncent des séjours cyclistes à l’étranger mais aussi des randonnées cyclo, hors clubs ou fédérations, qui finissent par se concurrencer dans la petite Belgique.

Ainsi la 5e Verada-Follens Classic, (pleine de défis ! », à Courtrai le S. 3 mai.



24) Dans l’abondance de choix pour l’habillement des cyclistes retenons la marque belge G-Skin, cycling teamwear, annoncé par deux mannequins portant fièrement les couleurs nationales.

25) Et toujours les stands qui épatent avec des gants et chaussettes Dex Shell garantis 100% waterproof.

Succès garanti à ce moment de l’année, surtout après la démonstration de la madame qui avait plongé ses mains dans l'eau.



26) Imposant stand que celui des cycles Thompson, montés à Lessines et présentés en entrée de gamme par de nombreux vélocistes régionaux qui vantent leur excellent rapport qualité/prix.

      Essais et programmes

27) Dans la variété des boissons énergiques du salon, dont de nombreuses marques belges, Moustache teste l’Etixx qui fait actuellement fureur et qu’on trouve chez les vélocistes ou en pharmacie.



28) Moins connues pour l’instant les barres énergétiques Boom, qui font certainement « boum ! » avec goût de bananes, fraises ou amandes.

29) Le stand Tacx donne l’occasion de tester des home-trainers dynamiques reliés à un écran.

D’où l’organisation au salon d’une compétition sur le thème de l’ascension fictive du Mur de Grammont.



30) Le stand Roubaix Tourisme offre l’opportunité aux clubs locaux de faire connaître leurs organisations et au Paris-Roubaix Challenge de s’afficher.

31) Le stand de la FFBC, tenu par René Claux et Gérard Masset, du club de Bomerée, distribue des milliers de calendriers présentant les 500 organisations clubs de la Belgique Francophone.



32) Un stand que ne manque pas de visiter André Prudhomme qui fut durant 12 ans le président de la Fédération Belge de Cyclotourisme qu’il maintint unifiée.

      Occasions de rouler

33) Le stand Golazo affiche les plus belles occasions de rouler dans des organisations professionnelles.

Avec des horizons prestigieux comme le Tour du Galibier ou des rendez-vous régionaux comme la Grinta ! Challenge (S. 10 mai 2014) fléché et animé par les Audax Tournai.



34) D’où la rencontre du président des Audax Tournai avec Kristof Vanoppen, directeur promotion et responsable du stand, ainsi que Christophe Impens directeur des organisations cyclistes Golazo.

35) De son côté Sébastien Soenen tient le stand D.S.O. (Didier Soenen Organisation) avec plusieurs casquettes.

Celle des stages cyclistes qui vont bientôt reprendre sur la Costa Brava espagnole mais aussi celle du Chti Bike Tour des 30 et 31 août.



36) DSO assure aussi la partie logistique du Lille-Hardelot nouveau, le Dimanche 18 mai, des Amis du Lille-Hardelot ici représenté par Marc Crépel avec le concours de Clotilde.

37) Organisation professionnelle aussi, la cyclosportive Vélomédiane-Criquiélion qui le 30 août en sera à sa 26e édition.

Stand partagé avec La Roche en Ardenne qui accueille la Vélomédiane.


      Chemin de rencontres


38) Si les parcours des organisations sont fléchés le recours à un compteur avec fonction GPS est toujours apprécié.

D’où le succès des Garmin même si la marque n’est pas seule sur le marché.

39) Le stand, qui n’est pas spectaculaire tant les « machines » sont discrètes, se montre accueillant et répond à toute demande de renseignement.

Même « pointue » pour répondre au président des Audax Tournai.



40) Ambiance rétro au stand Anjou Vélo Vintage qui vient faire connaître en Belgique et dans le Nord-Pas de Calais sa « Rando Vélo Rétro » des 28 et 29 juin 2014 à Saumur.

Se doter d’un vélo d’avant 1987 et d’une tenue ad hoc pour rouler au milieu de milliers d’amateurs de l’ancien temps.

41) Au stand angevin, le président du Nord Touriste, Alain Demortier avec Nadia, retrouve celui des Audax Tournai après avoir déjà participé ensemble à de nombreuses réunions pour la Rando EuroMétropole Lille-Kortrijk-Tournai passant par Roubaix.



42) Au stand Kuota votre serviteur rencontre Bernard Blanchard, avec ses acolytes cyclos de Roquetoire, le président de www.echoduvelo.com

Tous les trois estomaqués par l'ambiance Velofollies.

43) Au stand Isaac, Alain Leroy, responsable Jeunesse et Sport pour la Province du Hainaut, rappelle qu’il organisera un séjour alpin en fin de saison.

Et qu’il prépare la Wapi, une nouvelle Picarde soutenue par la Province, pour le dimanche 27 juillet au départ de Tournai.



44) Au stand Martelly Bike, l’un des rares fabricants de cadre encore actif en Belgique, Danielle et Didier Menet sont surpris en pleine discussion d’affaires.

On ne vous en dira pas plus !

45) On n’oserait pas rouler dans leur peloton et d’ailleurs leur stand était encore vide ce vendredi …

Mais comment ne pas saluer le club des « Ladies fun sports » qui organisent au départ d’Audenarde ?


      Enchainement


46) Retour sur l’innovation technique qui, avec le moteur électrique Bosch dans la boite de pédalier( !), fait sensation sur les nouveaux Vtt :

plus de dérailleur avant puisqu’un seul plateau, et des pignons extravagants avec un dérailleur capable de couvrir du 10 au 42 avec une courte patte.

Et tant pis pour le croisement de chaine.


47) C’est que les chaines, à commencer par les KMC, ont fait, en même temps qu’un effort de beauté avec choix de couleurs, des progrès de souplesse.



48) Une élégance qui est celle aussi des cyclos Aiglons d’Ath interpelés au stand Brasseur de Liège qui présente des vélos Viper.

49) Avec le Viking des enfants, l’occasion d’évoquer la diversité des machines présentes sur les 268 stands répartis dans 6 palais.

Mais impossible de tout voir.



50) Mais impossible de manquer le stand Bike 7 avec sa gamme de produits d’entretien qu’on trouve chez les vélocistes et parfois sur les organisations cyclos, route ou (surtout) vtt.

51) Une gamme de produits belges aussi efficaces que dynamique présentée par Nicolas Verjans, de Mourcourt, patron de la firme.

Avec l’annonce d’un jeu concours où Bike 7 sera présent pour un « Get Dirty » par « instagram your Selfie and win ».

Moderne et sympa, non ?


      Fermeture


52) Moustache n’est pas encore rallié à l’assistance électrique mais il y songe sans doute.

Le voilà qui teste le dérailleur électrique Di2 de Shimano.

Un bon début mais il faudra encore pédaler !

53) Après quoi retour au stand Grinta ! pour un échange avec Frederik Backelandt qui, 2 fois champions du monde des journalistes, est le rédacteur en chef de la revue.

Et promoteur du « Community » , un « Gruppo Sportivo Grinta ! » ouvert au plus grand nombre.



54) Et de prêcher par l’exemple : « Groupons-nous ! » qu’il disait, le Fred !

55) Arriva alors le temps d’attendre l’heure de la fermeture de cette première journée de Velofollies.

Avec la bénédiction du patron et le service sympa de Gino …




A chacun sa manière son Velofollies mais un bon moment, et de bonnes affaires, pour chacun.



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