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A ANTOING L’ASCENSEUR MONTE AU 200

Une Randonnée Touristique pour Randonneurs Mondiaux

le Samedi 25 Septembre 2004

A Antoing on a désormais aussi l’Ascenseur du Dog en poupe. La randonnée proposée par Jean Paul Frédéric a pris du galon avec un 150 jusqu’à Strépy, augmenté d’une boucle vers Ronquières pour faire un 200 BRM.

Par rapport à un BRM traditionnel, rien que pour eux, les 85 « Randonneurs », ont l’impression d’être noyés dans la masse des 260 participants. Ils acceptent la compagnie de nouveaux quidams mais constatent que ceux-ci les quittent pour s’en tenir à 150 bornes. L’esprit fout le camp mon bon randonneur !

Un mot sur l’appellation « Ascenseur du Dog ». L’Ascenseur c’est cette construction gigantesque, à Strépy, qui rachète d’un coup une dénivellation de 73m là où il fallait quatre écluses du 19e siècle. Le Dog c’est une sandwicherie, rue Royale à Tournai. Pour le lien entre les deux, voyez la famille Frédéric.



01) L’équipe de Michel Garson prend sa mission à cœur. Les Randonneurs costauds se débrouilleront devant. Les adeptes de l’allure moyenne forment un groupe. A l’avant les cyclos d’Antoing reçoivent l’appui de cinq Mouscronnois.

02) Au milieu la participation est plus hétéroclite. Certains vont larguer le groupe et d’autres vont prendre la tangente du 125 ou du 150.



03) Vers l’arrière c’est l’idée d’une longue randonnée à réussir sans coup férir qui domine. Parmi les bleus, des Audax comme Arthur et Hervé qui en sont à leur premier BRM, mais pas à leur premier 200.

04) Tout à la fin on reconnaît des cyclos qui ne se formalisent pas. Ils ont la capacité de supporter les changements de rythme qu’évitent pourtant les premiers du peloton.



05) Sans doute pas du 200, les cyclos de Rouillon participent avec beaucoup de décontraction. Ils sont partis avec le groupe à 7h30.

      La journée sera conviviale

06) A Herchies (km 43) survient le premier ravito (il y en aura 5 sur le 200 !) qui permet la décontraction. Les costauds ont en effet moins de goût envers les arrêts. L’accueil est assuré par Joel Lefebvre qui nous reverra au retour.



07) Francis Naessens, président des cyclos de Mouscron, est en pleine forme. Un beau 200 BRM pour lui et son équipe.

08) Le Bruxellois Pietro Sirigu participe avec beaucoup de bonne humeur. L’allure lui convient parfaitement pour cette fin de saison.



09) Partis plus tard, de nouveaux cyclos arrivent au ravito, mais on ignore s’ils feront le 200.

10) Ce sera le cas pour ceux de Kain qui ont décidé de former leur petit groupe. Une occasion manquée pour le président des Picardes de côtoyer des Randonneurs.



11) On ne traîne pas. Le groupe est reparti sous la même conduite … rouge et blanc. Pas de difficultés jusqu’ici.

      Prendre l’ascenseur…

12) Pas d’autres photos avant la petite montée de Thieu qui conduit jusqu’à l’ancien canal. Le cliché montre comment cela « pousse » derrière, dès qu’il faut donner un coup de cul ! Ceux de Mouscron sont tous passés devant.



13) L’arrière garde est, une nouvelle fois, plus tranquille. La pente est raide mais vraiment courte.

14) Vue sur l’ancien canal avec une écluse traditionnelle en arrière plan.



15) L’Ardennais des Dragons Audax Mons, travaillant à Bruxelles, Guy Godfrind est bien entendu sur le 200. Il est parti plus tard et annonce déjà qu’il se réjouit de nous retrouver dès l’an prochain pour une nouvelle série de Randonneurs allant, à Tournai, du 200 au 600.

16) Groupe de cyclos Flandriens qui participent au 150 de l’Ascenseur du Dog.



17) Les Audax Tournai sont à 23 (dont 3 féminines) sur le 200 ! Avec des représentants devant comme aux milieux. Et même derrière grâce à une équipe qui démontre qu’il n’est pas nécessaire d’être rapide pour randonner jusqu’au bout.

18) Deuxième ravito. C’est là que coupent ceux du 150. Les BRM 200 feront une boucle avec arrêt à Ronquières avant de revenir ici.



19) L’endroit, dos au canal du bas, se prête à la contemplation. Le bâtiment c’est un ascenseur pour péniches de 1350 tonnes qui se retrouvent d’un côté 73m plus haut et de l’autre … 73m plus bas.

20) Les cyclos, quittant les lieux, sont minuscules par rapport à cette construction qui, faute de crédits, a demandé 20 ans de tergiversations. Ce chantier wallon avait été décidé en contrepartie de la construction du port, en Flandre, de Zeebruges.



21) Sans un mot de plus, les cyclos suivants ne paraissent pas plus grands.

22) Vous demandiez des nouvelles de ceux de Kain ? Ils arrivent, tout juste avec une écluse de retard.



23) Ces cyclos français, de Templeuve, profitent du site et regardent la mécanique : l’ascenseur va se mettre en branle pour une montée d’environ dix minutes.

      Puis renvoyer l’ascenseur.

24) Paul et René ont entrepris de remonter la même pente que les bateaux : 73m de dénivellation. Donc une belle côte.



25) La boucle conduit vers Ronquières où se trouve une autre écluse extraordinaire. A cet endroit c’est un plan incliné qui permet aux chalands de remonter ou descendre la pente d’une soixantaine de mètres. Pour le groupe c’est vue sur la campagne.

26) Moustache, qui a traîné dans les parages, fournit la photo de Willem Penninck, bien connu des Tournaisiens, sortant du Bois de la Houssière. Un bois où l’on fait des trous pour des balles !



27) Après le contrôle de Ronquières, re-voilà le ravito de Strépy. Et toujours les dévoués Antoiniens au service.

      Faire flèche de tout bois.

28) On faillirait en n’évoquant pas le fléchage. Celui-ci était parfait question nombre et placement des flèches. Mais il imposait un terrible effort de réflexion.

Question: Quelle direction suivre?
Réponse: A droite.



29) Dernière cruauté, le parcours nous fait franchir le vrai faux-col Del Saux (85m). Celui-là même qui avait incité Daniel Gobert à créer la Commission Nationale de Reconnaissance des Cols de Belgique.

30) Dans la descente (imperceptible !), il faut s’arrêter pour l’avant dernier ravito (km 160). Passé avant nous, Moustache a surpris un petit groupe. On y reconnaît un cyclo d’Orchies. Sans doute Georges François car il paraît que, maintenant, il porte le maillot de « son » club.



31) Pas eu de temps de s’arrêter avant le contrôle suivant (km 176), installé à Péruwelz. L’ambiance a quelque chose de Tournai avec la Saint Martin.

32) Dernier moment de délire. Et si, l’an prochain, on adoptait ce type de flèche ? Au moins on saurait qu’on est des bonhommes qui font du vélo.




Un 200 rendu facile par la convivialité induite par le nombre des ravitaillements. Voilà un bon moyen pour briser l’allure. Que faisiez-vous à 18h ? Nous on arrivait !


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