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Paris Roubaix Challenge (2e PARTIE/2) Final d’Enfer et Paradis sur piste 2013

Alors que tout fait mal … tout va bien

le Samedi 06 Avril 2013

A partir du pavé de Templeuve, là où le lendemain Cancellera se mettra en route pour la gagne, la route des cyclos a tout d’un Enfer. Mais l’Enfer du Nord mène au Paradis comme on l’affiche au vélodrome.

67) A la sortie du secteur Moulin de Vertain arrive une étape de liaison routière conduisant jusqu’à Cysoing où l’Enfer est encore plus infernal.

Le temps sec (mais froid) rend les pavés moins traitres quoique poussiéreux et plus rapides. Le lendemain les coureurs feront la distance de 254,5 km à 44,190 km/h de moyenne



68) Nouvelle évocation de Gilbert Duclos Lasalle à l’entrée du secteur pavé de Cysoing qui lui est dédié.

69) Pavé d’autant plus éprouvant (1.3 km coté ***) qu’il commence en faux plat montant.



70) Ce courageux quatuor du Sprint Team Tournai participe aux grandes organisations régionales.

Après le Ronde Van Vlaanderen Cyclo et le Paris-Roubaix Challenge, il ne leur manque plus que le Liège Bastogne Liège Challenge pour être lauréats du Skoda Classic Challenge regroupant « 3 Classiques de pointe, la veille des pros sur le parcours des pros » !

      Jusqu’à l’Arbre

71) Ce cyclo d’Amiens qui a pris le départ de Busigny est en pleine expectative :

Que vient faire cette flèche rose invitant à abandonner le parcours, fléché en jaune, des coureurs ?

En fait les cyclos ont droit à un raccourci pour éviter la traversée de Bourghelles et le pavé conduisant à Wannehain.



72) Tel ce Canadien, « venu pour un vrai Paris-Roubaix », nombre de coureurs cyclos s’en tiendront à la route des coureurs et verront le village de Bourghelles malgré lui.

73) Avec le bel amusement du Bruxellois Patrick qui, devenu féru de Vtt « plus ludique », se prépare à gagner Roubaix avant de retourner, en pédalant seul, à Busigny en 90 km supplémentaires.

Chapeau !



74) Arrive alors le fameux secteur de l’Arbre à la sortie de Camphin en Pévèle.

On sait que le pavé y est redoutable car particulièrement torturé.

75) En revanche, contrairement au lendemain, la foule n’est pas là pour encourager les coureurs.

Et même les mettre en danger en encombrant les bas côtés.



76) Cliché, vraiment rare, qui montre un fond de trou dans la chaussée. D’habitude on y montre une mare d’eau sans fond.

77) Dernier virage pour la ligne droite, en faux plat montant, conduisant à l’Arbre.



78) Passage devant le café de l’Arbre, devenu restaurant huppé qui n’ouvre pas … les jours de grande affluence.

79) D’ailleurs les cyclos, tant routiers que bikers, tout comme les coureurs du lendemain, n’ont pas le temps d’arrêter :

le vélodrome de Roubaix les attend.


      Tour de piste


80) Enfin !

Magistrale entrée, sous le portique Skoda, des « cyclosportifs qui, la veille de la course, ont emprunté le parcours des pros ».

Sur une distance plus courte (170 km contre 254) cependant, même pour ceux partis de Busigny.

81) Faire un tour est un vrai régal édénique qui fait oublier les tourments de l’Enfer.

Et qui justifie tous les efforts !



82) Alors on s’éclate pour remonter la pente en se jouant des virages de la piste.

83) Que du bonheur pour ceux qui, comme l’indique le panneau affiché, garantissent que « L’Enfer du Nord mène au Paradis » !



84) Reste à s’offrir l’illusion d’un vrai sprint à deux … préfigurant ce qui attend Fabien Cancellara contraint, le lendemain, de finasser pour déborder Sep Vanmarcke.

85) Ici le faux sprint c’est à trois, pour trois compagnons cyclos de Lisieux.


      Convivialité


86) Lesquels accordent volontiers une interview au micro du site www.velo101.com

87) L’organisation a prévu une belle distribution de médailles pour tous les arrivants.

Mais rien d’autre en terme de convivialité qu’un stand sandwich et buvette.

Il y aurait là une belle opportunité pour un club entreprenant mais il lui faudrait disposer d’un local libre à la veille de la course.



88) En attendant les hôtesses officielles se chargent de remettre les médailles.

89) Ruban autour du cou même si la différence de taille est flagrante.

Mais tout ce qui est grand est charmant, n’est-ce pas ?



90) Regroupement entre champions solidaires pour célébrer les médaillés.

91) Contemplation du vélodrome pour des maillots à consonance espagnole.

Plus de la moitié des cyclos invités en Enfer venaient de l’étranger et représentaient 27 nationalités.



92) Ainsi les Bike Boys Beesd, les Gars du Vélo de Beesd, représentant la grosse délégation, devant l’anglaise, de Néerlandais.

93) La représentation régionale ou même locale était donc très minoritaire mais valeureuse !

Comme si les Nordistes voulaient échapper à l’Enfer ou qu’ils attendaient le Paris-Roubaix cyclo du Vélo-Club les années paires et le prochain Raid VTT Paris-Roubaix du 12 mai prochain.


      Douches


94) Pour ceux qui cherchaient à se doucher il n’y avait que l’opportunité de… visiter les douches mythiques dont les stalles du vestiaire sont marquées d’une place célébrant un champion.

Ainsi la stalle dédiée à Johan Museeuw vainqueur en 1996, 2000 et 2002.

95) L’occasion de se faire aussi un peu de cinéma, tout à la joie et à la gloire d’un Paris-Roubaix … de rêve.



96) Pendant ce temps les cyclos continuent d’affluer au vélodrome et à passer sous le portique Skoda.

Dans un brouhaha qui laisse croire que de nombreux supporters sont là pour acclamer … tous les champions.



L’Enfer du Nord en cyclosportive protégée comme les années précédentes doit être oublié.

En randonnée il peut encore grandir à condition de mieux impliquer les cyclos locaux ou régionaux.


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Pour revoir l'ambiance dite cyclosportive de 2012 sur les pavés ...
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