42) Moment de détente, à l’écart de la circulation, dans l’espace sécurisé et proche de sanitaires ménagé sur la place de Quiévrain pour le premier et dernier poste de ravitaillement.

De quoi inspirer les organisations retenues pour un Challenge des Picardes renouvelé ?

43) A elle seule, la table du ravitaillement, dans son abondance, sa variété parfois surprenante (ananas !) et dans sa présentation sous tonnelle valait le détour.

44) On peinerait à égaler la tenue sélect de l’équipe de service Crazy Wheels.

De gauche à droite : Alain Dutilleul (photos du club),Jean Dubois, Philippe Fiévet, Jean Marc Dubois, X ?, Gérard Vancamelbeke et Patrick Beudin.

45) Ceux du 160 et du 200 quitteront ce poste de ravitaillement animé avec la hâte d’y revenir après les arrêts à Villers Sire Nicole et le contournement de Binche.

46) Les photos qui viennent sont proposées par le Flandrien Willem Penninck.

Ici passage du peloton des 26 km/h à Vieux Reng.

47) Puis elles donnent une idée de l’ambiance au ravitaillement de Villers Sire Nicole où ceux du 200 s’arrêteront deux fois.

48) Après le groupe des cyclos d’Antoing, un groupe d’Audax Tournai sur la même place.

49a) Puis une bonne partie du peloton de circonstance qui s’apprête à repartir.

49b) Sollicité, Gérard Colin fournit des clichés qui donnent une idée de l’allure du groupe des 30 km/h.

A retrouver dans sa galerie :

http://gcolin.jalbum.net/Route%202009%20Cyclos%20Plongeurs%20Marcquois/slides/20120915crazytour-3086.html

49c) Sans être vraiment difficile, le parcours était doté de quelques petites grimpettes.

Comme ici du côté de la Flamengrie, en Haut Pays, aux confins du Hainaut et de la frontière française.

49d) Après quoi les rouleurs retrouvent un espace de champs ouverts conduisant à Binche, du côté de Peissant.

49 e) Grand moment de pédalage chahuté, à Binche, pour les cyclosportifs qui escaladent la route pavée contournant les remparts de la cité des Gilles.

50) Il est 13h quand, à Tournai, reviennent à l’école du Château les cyclos du Champ Perdu de La Bouverie accompagnant Pascaline Demartin des Aiglons d'Ath.

Ils en ont terminé du 160km conduisant jusqu'à Villers Sire Nicole..

51) D'où une pose, avant la pause, bien méritée devant le portique fédéral.

52) Dans le hall d’accueil, Tania pose devant les grands noms qui font le succès du Crazy Tour :

le vélo Museeuw et les deux sponsors principaux, Ice Watch Belgique et la menuiserie tournaisienne Morlighem.

53) Autour de Robin Vandekerkhove, se forme un groupe d’une quinzaine de « ladies » qui vont partir, à 13h30, pour la boucle du 80 km.

54) Sur le côté du groupe ladies qui sera conduit par Tania et Nathalie, se tient monsieur Istace.

Il représente la firme belge Ice Watch dont les montres non conventionnelles et colorées font un malheur.

55) Contrat en poche, Marc Vintovogel exprime ses sentiments aux ladies :

« J’aurais aimé vous accompagner mais les obligations me retiennent ici. La prochaine fois, peut-être … ».

56) Après quoi c’est un défilé qui fait (un peu) oublier celui des 3000 dames à Paris ce même jour.

57) Au sol, entre les cyclotes, la ligne blanche tracé mécaniquement à la chaux humide donnant un fléchage efficace mais inhabituel.

58) Jean Paul Frédéric, le président-fondateur du club des Cent Amis, est un petit malin.

Il a trouvé, en tandem, le bon moyen de s’immiscer dans le peloton féminin.

On espère qu’il racontera …

60) Pendant ce temps la vie continue dans le hall de l’école du Château.

Avec du boulot pour la famille Philippe Lefebvre qui prépare les Crazy Burgers.

61) Puis dans la salle les cyclos qui rentrent viennent échanger leur plaque de cadre contre les 5€ de caution ou le t-shirt Ice Watch de circonstance.

Ils reçoivent aussi un ticket numéroté pour le tirage du vélo Museeuw prévu à 18h mais réalisé à 19h. Là, il y a quelque chose qui ne va pas.

62) On sait maintenant pourquoi l’Audax Guy Wallez était pressé de rentrer du 80.

Il avait promis à sa petite descendance de les accompagner dans le Family Tour de 20 km.

63) Un Family Tour très Crazy puisqu’il sera guidé par Grégory Morlighem, sociétaire des Crazy et patron de la menuiserie bien connue à Tournai.

64) Dans l’encadrement de la balade familiale figure aussi Sophie qui a clôturé les inscriptions.

65) Image on ne peut plus sympathique que ce départ de la randonnée familiale du Crazy Tour.

66) Avec de la jeunesse très branchée.

Une fameuse réussite pour un club qui s’affiche « cyclosportif ».

67) Incognito au milieu des familles, le Vttiste des Crazy, Emmanuel Latteur.

68) Puis encore ce cliché, parmi tant d’autres possibles pour le groupe d’une centaine de pédaleurs de tous âges.

69) Comme tant d’autres, le Roubaisien Régis va louper le tirage du gros lot.

Il regagne ses pénates pour ne pas manquer le rendez-vous de l’inauguration (18h) du Vélodrome couvert de Roubaix qui sera l’objet de notre prochain « reportage » … exceptionnel.

70) Mais, avant de partir aussi, on ne pouvait pas rater les premiers « rentrants », avec leurs meneurs attitrés, du 30 km/h.

Il est environ 14h30.

71) Ayant « sacrifié » 40 minutes pour les quatre ravitaillements, ils ont tenu un bon 32 km/h.

En profitant d’un bon encadrement et de bonnes conditions de route, on l’a dit.

72) Pas mécontents de leur allure sportive du jour, les amis de Mons en Baroeul sont enchantés de la partie de manivelles proposée par les Crazy.

73) De même, le représentant du club d’Estinnes au Mont qui confie ses impressions au micro du speaker officiel, Alban Boiteau, venu avec son matériel de sonorisation.

74) Moment de décompression pour le staff - président, secrétaire et sociétaire - des Crazy Wheels qui fait d’ors et déjà état d’un bilan positif.

En attendant le débriefing général.

75) Participation flandrienne avec le groupe cyclo Lecot, du nom de la firme de matériel d’outillage, même si la communication du Crazy Tour ne semble pas avoir franchi la frontière linguistique.

76) Arrivés là, les Lecot sont bien décidés à rester. En attente du tirage du vélo Museeuw, bien entendu.

77) Un moment découragé par l’attente, les Tournaisiens ont eu l’opportunité de rentrer chez eux pour revenir à l’heure adéquate.

Car pour gagner le vélo, il fallait la chance du tirage … et être présent.

N’est-ce pas ringard de faire patienter en espérant un supplément de consommation au bar ?

78) En quittant les locaux avant l’heure idoine on perdait donc toute chance.

Mais pas celle de voir de près, à l’arrêt, la machine à flécher empruntée par les Crazy.

Installée dans la remorque elle est actionnée depuis la voiture qui doit rouler à 10km/h au moment du lacher de chaux.

Pas sûr que ce soit mieux que le fléchage, au sol ou aérien, traditionnel, sauf que tout partira tout seul.