38) Toujours sur les hauteurs de Maubray avec, cette fois, le passage de deux cyclotes réunies pour rouler tout en papotant.

39) Le groupe qui suit est fort de deux cyclos du club d’Aalbeke, en jaune, qui ont pris le parcours de la Picarde alors qu’ils étaient partis sans but précis.

40) Le cliché illustre la difficulté de photographier des cyclistes en mouvement.

Photo « loupée » car on ne voit que la roue arrière de l’un et la roue avant de l’autre … et le vélo du photographe dans un superbe décor.

41) Donc il fallait se contenter de prendre un vélo à la fois.

Ainsi le cyclo d’Allain y est tout entier et le vieux canal de Maubray aussi.

Bon gré, mal gré comme on dit au village du « Curé des Pourcheaux ».

42) Dans la campagne de Wiers survient Benoit, en pratique cyclosportive, qu’on connaît comme kiné en revalidation cardiaque.

Faut être complètement "malade" pour rouler à son allure !

43) Ambiance très family avec la maman qui escorte les trois enfants :

« On va essayer un 20 km, en prenant tout notre temps ! »

44) Un groupe s’est formé pour profiter de la roue de Patricia, en maillot du club d’Orchies.

45) A trois de front pour jouer les serre-files du groupe d’Allain en balade.

46) Un grand « S » pour le groupe de Brunehaut qui vire, comme la route, à gauche puis à droite.

47) Le maillot d’Antoing devant nos deux cyclos Lievens de Wiers, donc sur leurs terres.

48) Puis le grand chambardement quand arrive le peloton des Crazy Wheels hyper crazy.

49) A chacun de reconnaître son champion alors qu’il passe à l’allure du Tour de France.

50) Ici avec le renfort du maillot jaune du Team Wallonie-Bruxelles.

51) Et puis ceux qui en ont déjà vu d’autres et qui attendent patiemment avant de remonter en tête pour le final.

52) La randonnée est encore longue sur la plaine du nord.

On a le temps de voir venir la forêt.

53) A la sortie d’Hergnies (F) arrive, au stop, la séparation du 70 km à gauche et du 50 km à droite.

54) Contrairement à l’invitation Mélanchon qui incite à virer à gauche pour « prendre le pouvoir », le cyclo tourne à droite.

Pour rattraper Sarko ?

55) Les élections présidentielles françaises passionnent les Belges.

S’ils le pouvaient et pour changer de leur bon roi, ils voteraient pour la révolution !

56) Si la révolution est en marche, les cyclos marquent le pas en forêt de Raismes.

57) Un ravitaillement Audax y est tenu par l’équipe Pascal Delzenne, Jean Claude Dramaix et compagnie.

58) La table y dressée comme pour un pique-nique printanier avec de nombreux convives.

59) Fait rare, on rattrape les Crazy Wheels devant l’auberge du Lièvre.

A l’arrêt pour attendre la réparation d’une crevaison.

60) Réparation faite, le groupe peut s’élancer de nouveau pour continuer le circuit forestier.

61) Sur terrain dégagé, les cyclos de Pipaix adoptent l’allure sportive pour rattraper le temps perdu.

62) Ceci au risque de larguer le président qui envisage de battre la campagne différemment.

63) Sur le tard, à Odometz tout est encore possible quand on n’est pas manchot.

64) Le ravitaillement est installé, entre Brunehaut (B) et Mortagne du Nord (F), à la frontière franco-belge.

Il y a deux ans, à l’appel d’une riveraine devenue amie, c’est la police belge qui était venue.

65) Où que soit la frontière le ravitaillement est bienvenu pour les courageux pédaleurs.

66) En libre service chacun y trouve à boire et à manger, comme dans toute bonne Picarde.

67) L’équipe du ravitaillement, visitée par le président et secrétaire du club, est rassemblée autour de l’Audax Jean Luc Deconinck

68) Regroupée autour d’Annick qui a retrouvé la bonne santé, la joyeuse troupe des Feuilles Mortes de Vieux-Leuze.

69) Celui qui manquait à l’appel était occupé à se faire dépanner la roue avant récalcitrante.

70) Puis un quatuor de vieilles gloires mouscronnoises avec Albert, Alain, Pharinel et l'actuel président Francis Naessens.

71) Sous le panneau « Brunehaut » l’équipe locale avec le renfort de Roos et Michel, deux adeptes du vélo couché.

72) Survient alors le groupe des rapides Crazy qui ne prennent pas le temps de s’arrêter.

Deux ravitos sur 70 bornes, c’est trop pour eux !

73) Sans transition, faute de cliché dans la dernière étape, arrivée face à l’école de Warchin.

Rencontre entre (très) vieilles connaissances.