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RIRE AVEC MARCELINO CYCLO CAMPEUR EN CORSE 2004
Rêveries corses d’un Marcellino solitaire
Avril Mai Juin 2004
Cyclo-Campeur en Corse, d’avril à juin 2004, Marcel, alias Marcellino, s’est élevé de 55000m en franchissant plus de 200 cols de l’Ile de Beauté. Il prête ses photos honnêtes à mes commentaires parfois malhonnêtes !
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Parti pour 200 cols en Corse. | |
01) Or, donc, Marcellino partit vers l’Ile, avec tout son barda, le 17 avril, de bon matin, joyeux et plein d’entrain. Il avait fait ses adieux à Nicole… L’écho répondant « col, col, col… », cela le rendait très heureux. |
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03) Le voyage sera itinérant, mais Marcel plante sa tante pour plusieurs jours en un lieu qui lui permet de rayonner et de ratisser les cols environnants. Ici à Vivario. |
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05) Petite toilette matinale. Après une petite lessive, faite à la main, bien entendu. Quand on est solitaire… |
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07) Parfois le campeur décide de faire grasse matinée. Alors, après le petit déjeuner, arrive l’heure du grand déjeuner. Pour faire honneur aux produits du terroir le cyclo a sorti la bouteille. |
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09) Mais le plus souvent Marcellino ne résiste pas au charme de l’épicière. On voulait dire l’épicerie ! Un lapsus ? Pour rappel, Marcel est solitaire. |
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Les beautés de l’Ile. | |
11) Marcellino découvre la nature de Corse. Il s’émerveille sur les forêts de chênes-liège, typique de cette végétation méditerranéenne. |
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13) Mais il oublie la forêt quand il arrive au bord de mer. En Corse, la montagne est toujours proche du rivage. |
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15) A force d’ascension, Marcellino parvient au col de Bacino (808 m) que le Corse appelle Bocca di Bacinu, sans que cela garantisse le beau temps dans l’île. |
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17) Regagnant la montagne, il profite de printaniers genêts en fleur. |
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19) Aux Aiguilles de Bavella c’est le ravissement suprême. Pour un peu Marcillino se croirait au Paradis. D’aucuns diront qu’il n’a plus les pieds sur terre. |
Et les choses dégénèrent… | |
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21) Marcel se met à gamberger. L’ennui le gagne. Il se prend pour le maître de la Corse au Bocca (col) di Vezzu. |
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23) Puis photographie de son ombre au bord de la mer : « Bonjour Narcisse », qu’il dit, oubliant qu’il s’appelle Marcel. |
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25) Et le summum est atteint quand il atteint le col Marsulinu : « C’est mon col ! » |
Aux portes de la déchéance. | |
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27) Vraiment n’importe quoi puisque, ici, l’étiquette indique « Kronenbourg » ! Pouah!! |
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29) L’égarement est suprême quand il arrive au col de « Mèla ». |
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La vigilance divine. | |
31) Le salut vient du ciel. Il ne pleut jamais en Corse. Sauf quand Marcel se méconduit. Tel le seau d’eau salvateur, une averse inonde son camping. Et sa tente, son vélo et tout le reste par la même occasion. |
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33) Il était temps. Marcel se remet en selle avec le Sanmarcello… |
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Fantastique évasion ? Le récit n’est pas authentique, mais les photos sont toutes de Marcel et bien réelles.
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