01) Le magasin Decathlon de Courtrai/Kortrijk a désormais son correspond à Roulers.

Mais c’est de l’Expo-Schiervelde de Roulers, dans une immense Halle jouxtant un vaste parking que les départs pour 89, 123 ou 116 km sont pris par quelques 1500 cyclos.

02) Parmi les participants, qui ont eu raison de miser sur du beau temps après la pluie des jours précédents, les cyclos du Plein Cadre d’Hérinnes face au soleil matinal.

03) Dans la halle on roule à vélo pour joindre l’espace des inscriptions/inschrijvingen.

04) Puis c’est la séance du formulaire à remplir.

05) Passage à la caisse donnant droit à la plaque de cadre, au parcours impeccablement fléché et aux ravitaillements bien connus du Cycling Tour :

3 sur le 166 km dont le commun des 3 parcours au Decathlon de Courtrai.

06) Les Monts de Flandre donnent une option sportive à un parcours qui, sinon, serait facile.

Le passage à Courtrai est compensé par l’opportunité de franchir la ligne d’arrivée de Gand-Wewelgem.

07) Si Roulers est un centre maraîcher de grande réputation c’est parce que les terres agricoles voisines sont largement destinées aux légumes en plein champs.

Agréable à vérifier quand on roule seul.

08) Pour le Team Bit’Win (la marque des vélos Décathlon) la préoccupation est de faire le plein d’énergie avant d’aborder la zone des Monts.

08) Parmi ceux qui les suivent, contre le vent d’ouest à l’aller, de nombreux « postiers » qui roulent dans le maillot officiel du Cycling Tour Banque de la Poste 2010.

09) Si les parcours sont campagnards, il faut bien de temps en temps, comme ici à Wijtschate, traverser aussi de paisibles bourgades.

10) La première étape du 123 et du 166 se termine à Wulvergem (km43), au pied des Monts frontaliers des Flandres.

11) C’est là que se tient le ravitaillement des longues distances.

Avant l’option de 9 Monts en 44 km pour qui se lance dans la grande boucle.

12) Pour garder son statut de « toujours star » (Isostar), il faut boire.

13) Et pour la même bonne conséquence (Chiquita), il faut manger.

14) L’ambiance Team comme est de tradition dans les magasins Decathlon dont les employés sont des sportifs accomplis.

15) Des légumes de toutes sortes dans cette bonne région :

ici ce sont les citrouilles qui font le décor.

16) Ce décor ne tarde pas à changer. Voici le Kemmelberg :

coté facile (!) malgré son final pavé et sa pente maximale à 17%.

17) C’est faisable. Mais on a de bonnes raisons de grimacer.

18) Au sommet, il faut savoir si le vélo sera capable de continuer vers les autres monts.

19) Un « dépanneur » du club de Roulers se propose pour rapatrier la machine qui n’en peut plus !

20) Dans le contournement en descente vers l’Ossuaire on voit l’horreur du versant ouest : une pente, pavée, à 23%.

C’est horrible, mais moins que la guerre !

21) A coté de cela le Mont Rouge, même après le Mont Noir, c’est le Paradis.

22) Au-delà, on laisse derrière soi le village de Loker.

23) Un paysage d’altitude qui donne du cœur à l’ouvrage.

24) Loker en contre bas, et des poireaux en plein champ sur le bord de la route.

25) Sixième côte du parcours, le Monteberg s’annonce comme un retour à la raison : seulement 800m et une pente certainement moins raide qu’annoncé.

Cette perspective aurait-elle décuplé nos ardeurs?

26) Car face à l’estaminet du Monteberg (trop souvent fermé malgré sa célèbre Carolus), se trouve un joli vignoble.

L'occasion d'annoncer la Randonnée Route des Vins du Monteberg, 55/105 km, le Dimanche 26 Septembre. Départ de la Cave du Monteberg, Smijterstraat, à Dranouter (B).

Dégustation offerte aux participants.

27) C’est à peine si l’on sent passer le Mont des Roses : 550m à 6%.

Soit une élévation de 33m.

28) N’empêche qu’on est heureux d’atteindre son sommet.

29) Pas pour décourager, l’organisateur annonce que la prochaine côte, le Kraaiberg, arrive dans 2,6km.

30) Avant cela, retour à Wulvergem pour un ravitaillement bis.

31) Avec une préposée au contrôle qui prend à cœur sa mission : pointage de la carte de route.

32) Opportunité pour le cyclo de Saint-Amand les Eaux (F) pour chausser de nouveaux pneus.

33) Puis voilà ce fameux Kraaiberg, long de 300m, qui permet de sortir de la zone des Monts.

On laisse le Kemmel derrière soi après Messines/Mesen.

34) Désormais le parcours, encore long et toujours tortueux, sera d’autant plus facile que le vent est favorable.

35) Le portique d’arrivée ponctue le final de l’avant dernière étape du Cycling Tour 2010.

Reste la 2e Würth Classic, le samedi 4 Septembre à Turnhout, sur un parcours plat en Campine.

36) Décrochage des plaques de cadre pour restitution de la caution ou l’échange en tee-shirt ou produits Isostar.

37) Un circuit Decathlon pour faire le tour de la Halle.

38) Pause des vélos quand les pédaleurs prennent le temps d’un détour vers le bar.

39) Salutations de « Randonneurs Mosans » de Jambes (Namur) qui ont roulé toutes les étapes 2010, à l’exception du Tour de Namur.

Là ils officiaient comme bénévoles pour servir les 2500 participants.

40) Puis la séance de massage.

« C’est tout un poème », chantait l’artiste pour oublier ses crampes.

Avez-vous, sur le site du Cycling Tour 2010, cette belle photo 18 d'Alain Buyck illustrant le compte-rendu de la Decathlon Classic?

C'était au Monteberg à l'heure de la distribution d'une pochette énergétique de chez decathlon.

A voir sous: http://www.sport.be/cyclingtour/helletocht/2010/fr/nieuws