01) L’Euro-Diagonale Strasbourg-Budapest (et l’inverse) c’est environ 1200 km à parcourir librement dans un délai établi sur une moyenne de 180 km par jour. Le parcours est tracé par le participant qui s’engage à l’autonomie, donc sans assistance motorisée.

La gestion des EuroDiagonales est assurée par André Etiève pour le compte de l’Amicale des Diagonalistes de France.

02) Le règlement est peu contraignant : un contrôle par jour avec une photo ou carte postale d'un lieu de passage.

Et un délai raisonnable (pour un Randonneur averti) qui tient compte, par rapport aux Diagonales, des aléas du dépaysement.

03) Pour Michel et Martin qui partent vers Budapest la pédalée se veut cyclo et touriste.

Les voilà le long du Bodensee (lac de Constance), sensibles au bruit des vagues.

04) Les pistes cyclables, parfaites pour la promenade, font perdre un temps fou aux Randonneurs au long cours.

Quand elles ne les égarent pas !

05) Sur les 21km qui font traverser le Lichtenstein, que peut-on photographier ?

Une pub de banque bien sûr !

06) En Suisse le panorama, à vélo, se mérite.

07) Un ancien fortin, toujours utilisé par l'armée confédérale suisse.

08) La neige en été, même au loin, c'est magique à découvrir pour des habitants du "plat pays".

09) Les vaches de montagne, on les voit, mais surtout on entend leurs cloches.

10) A force de grimper, la neige approche.

Le sommet aussi.

11) Le 2ème col de la journée, le Pass dal Fuorn, à 1880m d'altitude.

12) Un crochet de 222 km en Italie sans entendre un seul mot d'italien.

En Haut-Adige on parle allemand.

13) Hébergement à Panzendorf en Autriche.

Martin fait connaissance avec la serveuse en costume local.

14) Sur le bord de la route, une série de petites chapelles forme un chemin de croix.

15) Dimanche matin, un couple autrichien attend la petite procession pour l'accompagner à la fête patronale du village.

16) Une route de rêve, très sinueuse, très vallonnée.

Un rêve de descendeur-grimpeur quand les voitures sont absentes.

17) Cette piste, splendide (pour une fois !), remonte le torrent entre Meran et Brixen.

Elle sera, hélas, suivie par un chemin infect de gravillons : crevaison pour Michel, chute pour Martin.

18) Tant en Suisse qu’en Italie ou en Autriche, les beaux chalets se ressemblent.

19) Pas de vandalisme dans ce coin d'Autriche ?

Les chapelles restent de toute beauté.

20) Quand il fait chaud, très chaud, … faut ce qu'il faut pour se rafraîchir.

21) Encore une de ces si belles petites chapelles.

22) Après 600m à 18% pour quitter l'Autriche, voilà la Slovénie.

Un des derniers pays venus en Communauté Européenne.

23) Un champ couleur Audax de Tournai?

Vive les bleuets !

24) Un vrai poste de douane avec police. On n'est plus en CE mais en Croatie.

La frontière n'est pas un endroit précis mais c'était trop tentant pour la photo-contrôle du jour.

25) Qui sait lire ? HRVATSKA.

26) La Croatie qui longe l'Adriatique est pays de tourisme.

Elle se montre accueillante.

27) L'entrée des localités hongroises est bien indiquée, mais le Magyar n’est pas facile à lire.

28) Nous sommes arrivés dans la capitale hongroise.

Dans combien de pays avons-nous roulé ?

29) En attendant le renfort de Marc et Yves qui vont faire Budapest-Strasbourg avec nous mais sur un autre chemin, Martin profite des beautés monumentales de Budapest sur les bords du Danube.

30) Photo-contrôle pour le premier jour du retour, à Gyor, avant de quitter la Hongrie.

L’équipe c’est désormais deux Audax Tournai en bleu et deux Climax de Biévène/Bever en rouge.

31) Toujours l’esprit cyclotouriste : arrêt et photo devant le château des princes Esterhàzy.

32) Sopron, ville frontière et d’hébergement.

Soirée sur une place de cette vieille cité pour déguster la glace.

33) Retour enAutriche et première ascension.

Les hommes frais, Yves et Marc, sont à l'œuvre.

34) Fin de matinée encore agréable à Freiland. Toute l'après-midi contre un très fort vent.

Après cela le temps va se dégrader avec deux jours de pluie glaciale.

35) Le temps est gris et la pluie toute proche à Gmunden, au bord du lac.

36) A Rosenheim, au km 598 (donc mi-parcours), il fait 10°.

Le soir, il nous faudra la douche chaude pour ne plus grelotter.

37) Souper à Leutkirch. Il reste une matinée à rouler.

La troupe est fatiguée et ne prolongera pas la soirée.

38) La ville pourtant méritait cent fois la visite.

Faudra qu’on y revienne !

39) Une distraction avait envoyé un duo rive droite, l'autre rive gauche !

Allions-nous terminer séparés ?

Une pâtisserie nous réunira à temps pour le dernier contrôle.

40) Le pont piéton/vélo sur le Rhin nous met dans Strasbourg.

Moment d’émotion.

Nous avons réussi car l'équipe Yves, Martin, Marc et Michel n'a pas flanché !