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LILLE-VAL JOLY (DEUXIEME PARTIE)

Un final de pleine nature et du bonheur d’être là.

le Dimanche 06 Juin 2004 (après midi)

Sans incidents majeurs, les 1200 cyclos de Lille-Val Joly vont arriver à la base de loisir. L’étape aura été longue mais pas trop difficile : 1000 m d’élévation.

Le site du Val Joly, sur la commune d’Eppe Sauvage (entre Avesnes et Chimay), profite d’un vaste plan d’eau pour proposer de multiples activités de sport et de détente. A preuve le petit groupe de dames que nous retrouverons sur la route.

L’endroit permet de respirer à pleins poumons et de profiter d’une nature protégée. Les cyclos y sont les bienvenus. Le Conseil Général, maître des lieux, apprécie la randonnée qui valorise le tourisme en Avesnois.


      Revenons à nos moutons.


28) On se retrouve dans le même bocage, à la sortie du même village. Mais cette fois avec un quatuor de Wasquehaliens qui ont décidé de faire route ensemble. A droit, en VTT, Didier est un Randonneur qui a connu tous les grands brevets.

29) Si l’allure du quatuor est tranquille, il n’en va pas de même pour ces cyclos qui, en file indienne, nous filent le train.



30) Revoilà les Cominois qui se demandent ce qu’ils ont fait pour avoir ainsi les honneurs de la photo.

31) Et encore un groupe qui bat la campagne. L’arrivée se rapproche mais les côtes vont se succéder.



32) Les cyclos non Nordistes ne sont pas légion. Nous sommes donc fort aise d’avoir repéré les cyclos de Clermont sur Oise, de l’Oise.

33) On promettait des côtes, en voilà une gentille qui donne l’occasion à Jérôme de se tester.



34) Le cyclo de Willems remarque que c’est la 2e fois que je le photographie. Mais cette fois on ne sait pas à quelle heure il est passé en cet endroit.

35) La côte n’est pas sévère, mais elle permet de mesurer les écarts de force. Voyez la cyclote, au milieu, … elle est en plein courant d’air.



36) Le déplacement d’air c’est celui de ceux qui sentent l’écurie.

      Cadeau de Fête des Mères.

37) A la faveur d’une descente notre cyclote a retrouvé ses copines. Elles sont quatre qui ont décidé de partir de Maroilles pour rejoindre le parcours et revenir sur la route de Val Joly, soit 50 km. Belle initiative d’accompagnantes qui avaient pour mission de conduire la voiture.



38) Les cyclos de l’Asptt Lille vont bientôt être stoppés dans leur élan.

39) Dans le village de Féron un poste de ravitaillement est bienvenu. Il faut chaud. Il reste 22 km avant l’arrivée.



40) On retrouve notre équipe de cyclotes qui posent pour la postérité. Une image qui peut faire le tour du monde : « Elles y étaient, au Val Joly 2004 ! »

41) L’endroit, très villageois, est très bucolique. Moment de détente.



42) Inévitable discussion sur les machines. L’objet des débats ici c’est un fameux Nakamura.

43) Et puis on décide de prendre le vélo par les cornes. C’est le départ de la dernière étape.



44) Toujours ce paysage de campagne bocagère. Profitons-en car le final se fera en forêt.

45) Dans l’Avesnois, les maisons sont le plus souvent en pierres avec toit d’ardoises. La pierre est dite « bleue ».


      Sur l'aire d'arrivée, au Lac du Val Joly.


46) L’objectif tant attendu est atteint. Les photos attendent les cyclos qui auront de la peine à résister. Ah, mais c’est qu’ils sont beaux les cyclos, dans leurs beaux maillots.

47) Pose devant le lac pour les cyclos de Leers qui étaient très nombreux sur la route et bien escortés par leur président.



48) Jacques Steenkiste, qui nous accueille, rencontre ici des comitards de l’Urfa-Lille et fait donc connaissance avec les organisateurs de Lille-Calais. Dans un mois il participe à l'Etape du Tour de France.

49) Le téléphone sonne : « Allo, chérie, je suis bien arrivé. Et, à propos, je te souhaite une bonne fête des Mères ». Sur ce, le cyclo néglige de préciser qu’il s’en va droit vers la buvette.



50) C’est en effet l’heure de songer à rentrer. Mais il faut d’abord retrouver les voitures.

51) Et puis il faut se mettre bien propre. Ce soir c'est Fête ...



52) La palme de la décontraction revient à Jean Pierre. Il a fait l’acquisition de chaussettes de récupération. Après l’effort, le grand confort. C’est fort …, non ?



Lille-Val Joly c’est donc une belle épreuve et une grande organisation. Personne ne regretterait d’être venu sur les terres d’au bout du Nord.


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