36) Ce n’est pas de leur faute si la file d’attente retarde le mouvement avec le risque de louper le départ du groupe décidé à 13h30.

Il fallait un « renfort caisse » pour l’heure d’affluence et, de toutes façons, séparer les deux tables d’inscription :

l’une pour ceux qui ont leur « numéro Picard », l’autre pour ceux à qui on doit expliquer le système.

Oufti !

37) Quoiqu’il en soit ce deuxième tour de circuit invite à franchir l’Escaut.

Et à passer au dessus du chemin de halage qu’empruntent les cyclos pour revenir de Warcoing à Kain.

38) Pour ceux qui partent c’est le franchissement via le Pont Bolus reliant Kain à Ramegnies-Chin.

39) Pas de chance ou calcul pour quitter le groupe des Crazy Wheels ?

Le capteur de la cadence de pédalage bat de l’aile. Pas grave.

40) Il fait sec, mais le vent contraire oblige à s’employer dans cette partie du parcours à travers la plaine de champs ouverts, en direction de Templeuve.

41) L’association momentanée mélange les maillots.

Ici le groupe, à allure randonneur, est mené par Martial qui se prépare à un long périple hexagonal.

42) Toute autant concernée, Tania fait confiance pour l’allure et le sens de l’orientation.

Même si, par et pour les Kainois en Balade, le parcours est parfaitement fléché.

43) Remis de leurs émotions de la Fête Picarde mais aussi du Carnaval de leur « biau villache », Les Basèclois, en rouge, ont inscrit une dizaine de participants.

44) Parmi les 490 participants annoncés, 70 représentent les Audax Tournai.

Donc on ne sera pas surpris de voir des « bleus ».

45) Les Audax roulent, au moins dans les « brevets », à leur allure et en groupe éparpillés.

Ici, sous la conduite de Richard, il s’agit … de l’escorte présidentielle.

46) Les départs de l’après midi (de 13 à 13h30) ayant été plus nombreux et plus groupés, l’affluence est grande au ravitaillement garage Noullet à Rumez-Gare, hameau de Templeuve (B).

47) Le flux des arrivants continue, avec l’un des groupes des cyclos d’Antoing (2e club plus nombreux) : famille Owel.

48) Et puis, à la guerre comme à la guerre, fils et père Cordier.

Pas sûr que le fils tienne le plus longtemps.

49) Dans un peloton qui reste compact aussi longtemps que possible, voilà le groupe des Crazy Wheels.

50) « On a payé, alors on va prendre le temps d’un ravitaillement », décrète l’homme de tête.

51) Et les autres de même, mais pas question de trainer quand cela repart.

52) Les moins pressés prennent donc le temps de mordre dans les biscuits et de se réchauffer l’intérieur.

Remarquable service d’une soupe chaude kainoise : aux oignons ou aux poireaux.

53) Après le ravitaillement le choix est laissé de rentrer à Kain en 35 km par le Pont Bolus ou d’allonger pour 50 ou 70 km en direction du Pont de Warcoing.

54) La route du 50 km revient de Warcoing en remontant l’Escaut: 1m sur 10 km, soit une pente à du 0,01% .

Touristes en balade chez les Kainois ?

55) Les mêmes touristes, Alain et Pharinel, en gros plan.

Déjà deux Picardes 2010 sur deux, en attendant la 3e du Printemps Mouscronnois.

56) A cet endroit la balade est tranquille.

Bien à l’abri du vent avec le talus qui canalise un Escaut plus haut que la plaine voisine à cet endroit.

57) Le décor anobli par le passage d'Yves Delbecq et Carine Ponchaut renforts Audax en maillots Clément, n’est pas anodin.

Sur la gauche des rouleurs la colline du Mont Saint Aubert qui se dessine :

comme un mamelon, ou un œuf, sur le plat ?

58) A la droite des pédaleurs l’Escaut du « plat pays » chanté par Jacques Brel :

« … Avec de l'Italie qui descendrait l'Escaut
Avec Frida la Blonde quand elle devient Margot … »

59) Entre eau et terre, donc, des Stars de Pipaix (23 inscrits, 3e club plus nombreux) en Balade.

60) Ou entre terre de récoltes et eau de transports, la pédalée vigoureuse.

Au premier plan, Charles Edouard et Bernard Debonnet, secrétaire du Comité des Picardes.

61) Sympas les salutations des bikers qui empruntent, eux aussi, le chemin de halage.

Mais, sauf erreur, ils ne participent pas à la randonnée du jour.

62) De même ces souriantes salutations flandriennes.

Mais ce groupe en mode Family tourne vers la Maison de Léaucourt pour suivre une autre route.

63) Entre le Pont Bolus du 35 et le Pont de Warcoing des 50 et 70 km, il y a le Pont de Pecq.

La Balade se contente de passer dessous pour rester près du fleuve.

64) Ce n’est pas la première qu’on voit Christophe et Roland rouler côte à côte, mais …

65) … Christophe demande à son père de poser sur le talus alors qu’arrive une péniche remontant l’Escaut.

Voir cela sur le « blog » photos des randonnées, à l’adresse … ( ?).

66) Cela n’empêche pas que la pédalée des autres suive son cours, chacun roulant à sa manière.

Non ?

67) La preuve en images avec des cyclos d’Allain et de Vaulx, bel et bien sortis malgré le froid.

68) L’allure sportive des Crazy premiers n’enlève rien à la qualité du paysage.

Au contraire même.

69) La bonne humeur des sportifs est à l’égale de leur cri du cœur : « On a payé, on a payé, … »

Ceci pour contredire ma méchante plume.

Hein, quoi ?

70) En fait les sociétaires du club des Crazy, tel celui-ci, sont les victimes innocentes (!) du mot d’ordre donné par ... ( ?) de leur club :

« Payez votre participation mais ne prenez pas la carte d’homologation du Challenge des Picardes ! »

Ceci parce que cette carte est dotée d’un numéro Picard qui n’est pas celui de la carte FFBC, laquelle n’est donc plus requise. Etc...

Bonjour la nouvelle embrouille !