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VOYAGE A MADAGASCAR MARCEL HENDRICKX (1e Partie/2) OCT 09

Sourires Malgaches et la roue de Marcelino

du 19 Septembre au 10 Octobre 2009

Notre Marcelino international s’est encore immiscé dans un voyage de Marcel Hendrickx. L’aventure réunissait 14 cyclos français, le plus souvent en couple, motivés par la découverte de Madagascar.

01) Les photos de ce reportage sont communautaires, avec un apport principal de Claude qui a pallié les distractions de Marcelino.

Les commentaires s’inspirent du récit de Régis et du site de Pierre Buisson ( http://buisson.p.free.fr ) .

Et il faut voir les photos du Chti62 Jean Duhayon sur le site de son club des Randonneurs de Liévin : http://crlievinois.ffct.org/ (rubrique "ceux de Jean")



02) Marcel Hendrickx est l’organisateur et le guide de ce voyage cycliste (2e de l’année en 2009 dans l'"Ile Rouge") de 22 jours qui a regroupé 14 cyclos français (dont 5 couples et 4 célibataires) plus notre Marcelino belge. Et deux Malgaches (Jean et Rota) pour l’escorte.

03) Ancien de Paris-Pékin et des grands brevets randonneurs du genre Paris-Brest-Paris, Diagonales de France et EuroDiagonales, Marcelino a jeté son dévolu sur les destinations exotiques.

On peut le retrouver, via Marcel Hendrickx et le blog qu’il anime, en février 2010 au Guatémala puis, de nouveau, à Madagascar du 3 au 24 avril. Egalement en Turquie, en mai-juin …



04) « Souffle d’Asie sur terre d’Afrique, carrefour de civilisations, repaire de pirates, saveur de vanille et d’épices, forêts primaires, hauts plateaux habités, routes tranquilles et cyclables (quand elles existent !), plages de sable fin et une population toujours accueillante … »,

c’est Madagascar, colonie française jusqu’en 1960.

      Groupe de Vahazas

05) Tout le monde fait connaissance à Antananarivo, dit « Tana » la capitale de Madagascar dont la population parle le « Malgache » mais aussi le Français.

Martine, la Parisienne, met tout le monde à l’aise et organise la solidarité dans ce groupe qui se révèlera homogène.



06) Une aventure, riche en découvertes (paysages, activités locales, rencontres et discussions …) mais bien encadrée :

camionnette d’escorte, restaurants et logements retenus, plus la tranquillité rassurante de Marcel Hendrickx.

07) Les « Vahazas », nom que les autochtones donnent aux « blancs », quittent très vite Tana.

Le périple conduit vers le centre-est de l’île de Madagascar qui, grande comme la France plus le Bénélux, compte quelques 20 millions d’habitants répartis en 18 ethnies.



08) On construit beaucoup à Madagascar, même si ce n’est pas toujours très solide.

Or pour construire il faut du sable … que l’on trouve parfois, comme ici, au fond de la rivière.

Dragage à la main !

09) Puis transport de briques.

Avec le simple moyen d’un port altier.


      Vie sociale


10) A la sortie des villes le fleuve est à la fois, station balnéaire (rarement), salle de bain publique et blanchisserie (façon de parler !) de plein air.

C'est, au delà des sourires, la grande pauvreté ...

11) On ne roule pas sur l’or à Madagascar mais la société s’y veut, là aussi, de consommation.

Pub pour la téléphonie sans fil et pour une bonne bière locale. Pas si dépaysant que cela donc, … sauf la présence de zébus.



12) Les étapes cyclistes sont comprises entre 60 et 120 km avec une dénivellation accessible pour un cyclo habitué.

Logements en hôtels ou bungalows qui vont du très modeste au grand confort, en fonction des opportunités.

Idem pour la restauration : zébu, poulet ou poisson avec du riz et parfois … des frites.

13) Chaque soir, au moment du réconfort, Marcel regroupe ses troupes pour le bilan du jour et l’annonce (avec des fleurs) des particularités du lendemain : conditions de route, sites remarquables et opportunités de visite.


      Regards souriants


14) Le bord de route permet de profiter de nombreuses offres artisanales et de produits locaux.

Aussi une occasion de photos. A celles de Marcelino s’ajoutent, ici, de beaux clichés de Claude que l’on reconnaît à gauche.

15) Voilà donc un bel instantané de Claude : gamins dans un jouet aussi amusant qu’imprévisible.



16) D’autres clichés sont aussi nobles mais plus pénibles :

conditions de travail pitoyables pour ce « fondeur » d’aluminium de récupération.

17) Et puis les extravagants moyens de transport !

Lenteur ici, mais pas dépourvu d’élégance.



18) Dans des paysages très changeants, le regard se porte volontiers sur les espaces consacrés à la culture du riz.

Avec un travail intensif, pieds dans l’eau sous le soleil, dans de minuscules parcelles.

19) Le « battage à l’ancienne » … est toujours d’actualité.

Madagascar exporte du riz « rouge » de très bonne qualité et importe, pour sa consommation, du riz pakistanais plus ordinaire.


      Rencontres populations


20) Sur le bord de la route, les enfants ne ménagent pas leurs « Bonzours Vahazas ! ».

Quitte à réclamer des bonbons qu’il vaudrait mieux … ne pas donner.

21) Clin d’œil à ceux qui jettent un regard sur l’extérieur de la case.



22) Le chemin de ceux qui vivent là croise la route de ceux qui passent.

23) Les vélos locaux sont rarement en bon état.

Tentative de réparation ? Bidouillage en perspective.



24) Toujours la particularité des moyens de transport: charbon de bois sur le charriot.

Ce qui n’exclut pas les salutations réciproques.

25) Après les étapes à Ambatolampy, Antsirabe, Ambositra, voici l’escale à Fianarantsoa à la fin du 6e jour, puis à la fin du 8e après un crochet à Ambalavao.

Ces villes ont gardé les marques de la colonisation.


      Safari photos


26) Le groupe donne parfois lieu à des clichés cocasses :

ici la concurrence pour photographier une araignée !

Marcelino ayant loupé sa photo, il faudra voir cela dans la galerie de Jean, le Chti Liévinois.

27) Même concurrence, mais à l’envers :

« C’est chez moi qu’on trouve les gemmes les plus précieuses ! »



28) Et, scène de la vie plus ordinaire, au retour de la pêche :

« Voilà ma pêche. Votre repas de midi, pour 2€ ! »

29) Enfer et Damnation : un jardin de plantes carnivores.

Ne pas s’y perdre !



30) Damnation et Paradis : accouplement de criquets bleus.

Pourquoi pas ?

      Bout de piste

31) La prudence est de mise (ne pas rester seul) et le roadbook explicite :

rendez-vous à l’hôtel du soir.



32) Mais il se peut que l’hôtel, surtout ***, se mérite :

en bout de piste et après l’averse tropicale.

33) Rien n’est simple, mais c’est tellement beau.



34) Et prometteur. Suivez son regard…



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