41) Le premier talus étant franchi à pieds, le chef des Renards des Sables prend son élan pour franchir le second palier, moins pentu.

42) Sans forcer leur talent les Bikers de Rekkem en font tout autant.

Victorieusement.

43) Le Père Noêl des Palots tente sa chance à son tour, histoire de se « les » réchauffer (les jambes !).

Vous aurez remarqué que, tel Jules César, il ne porte pas de falzar !

44) Comme le vêtement de nombreux bikers, y compris celui du jeune d’Eleu dit Leauwette, le sol est noir comme le charbon.

On se retrouve en effet sur un terril arasé donc sur des restes de terre sortis de la mine.

45) Découverte d’un parcours très spécial pour les jeunes et pour le biker de l’Oise (60).

46) Visiblement les coups de force sur les pédales mettent à l’épreuve les chaînes.

Alors vivement le dérive-chaîne et la compassion des copains.

47) Le comble, sur cet espace terril dont le sommet a été raboté de manière très inégale, c’est qu’on a le sentiment de sortir d’un trou.

Avant de passer à l’étage supérieur, jusqu’à 56m de haut sur ce terril escamoté.

Soit une élévation de 40m par rapport à Noyelles.

48) Mais c’est pour mieux plonger mon bon monsieur.

49) Au risque de se perdre dans un décor qu’on peut qualifier de lunaire.

Car il paraît qu’il y a aussi de l’eau sur la lune.

50) Après quoi, car c’est la destinée du biker en randonnée, il suffit de … re-monter.

51) Donc une belle occasion de souffler, voire de se regrouper quand on roule entre amis ou en club.

52) Franchissement de l’autoroute A21, entre Hénin-Beaumont et Lens, via une passerelle pour piétons et cycles.

53) Quel artiste ! Sans les mains !!

Mais non, pas sans les dents ensuite !!!

55) Il fallait s’y attendre, au-delà de l’autoroute du côté de Harnes, nouveau terril raboté.

Avec un paysage dont on ne se lasse pas.

56) Les bikers ne sont visiblement pas égaux dans l’effort.

Muscles bandés au maximum, ici.

57) Et, là, décontraction maximale, alors que derrière lui c’est débandade générale.

58) N’empêche qu’on finit par se retrouver à l’étage supérieur.

59) De larges sentiers donnent, au milieu des bouleaux qui ont colonisé les étages inférieurs des terrils, l’occasion de rouler à vive allure.

60) Le sentiment de retrouver le jeu cycliste.

Dans la roue d’un Krierecrosser costaud.

61)« Bikeuse » des MountainBiker.be au train, comme jadis les femmes sur le carreau de la mine.

62) Avez-vous remarqué les fumerolles (sous la flèche verte ajoutée) qui sortent du terril ?

Le terril continue à se consumer. La pluie a apporté l’oxygène qui entretient la combustion.

63) A ce moment la Galibotte retrouve des airs de plaisante randonnée tranquille.

64) Puis bouchon ! On les avait un peu oubliés sur les terrils.

Que se passe-t-il ?

65) Vous pensez que c’est pour voir passer Manu le Père des Pères Noêl Palots ?

66) Non, simplement ( ?) la sortie, acrobatique et étroite, de l’espace terril.

Il faudra même franchir un fossé avant de traverser la grande route !

67) Puis c’est reparti pour de nouvelles aventures.

68) Un long passage, le long du canal, va permettre une agréable et tranquille traversée du parc de loisirs de courrières.

69) Puis c’est le repos des vélos qui en ont vu de toutes les couleurs.

70) Sous le contrôle de deux Galibots, une armée de Diables Rouges s’active.

71) Ravitaillement gargantuesque et pantagruélique.

La table est mise.

Il y a de tout et il y en aura pour tout le monde, malgré la participation record de 1206 Bikers.

72) Franck, le diablo des Diables, est à la plonge.

73) Puis au milieu des Diables qui se mettent deux minutes en disponibilité.

74) On se met en quatre et même en plus pour servir.

75) Sur un feu de braises du diable, l’équipe barbecue ne rigole que pour la photo :

La Saucisse diabolique, l’Italien, Pitt Bull et Dédé!

Que des noms sympathiques !

76) Au four puis à table.

Pas le moment de tirer les Diables … par la queue.

77) Tout cela donne faim et soif.

Alors on ne va pas se priver…

78) Car qui dit mauvais Diables dit bonnes Diablesses !

Hum ! Hum !!