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BREVET DES ROSES A BONDUES

Versant Nord-Ouest de la Métropole Lilloise

le Dimanche 23 Mai 2004

Au départ de Bondues (au NO de Lille) le parcours du Brevet des Roses se dirige vers la frontière flamande dans une belle et tranquille campagne. Pour un cyclo de l’Est, c’est l’autre côté de la ville !

Le brevet des Roses à Bondues (Ufolep) fut pour moi une occasion de rouler incognito ( ?). Nombreux furent à se demander qui était ce cyclo qui les doublait avant d’arrêter pour les « mitrailler ». Alors bonjour les cyclos de l’Ouest métropolitain. Tournai est à l’Est. Il fallait bien qu’on se rencontre.

Enigme non résolue : les Roses du Brevet, c’est quoi ? Certes on est à la saison des roses, mais vous verrez que ce ne sont pas les fleurs les plus fréquentes du bord de route.



01) Le départ du Brevet de Bondues se prend du Foyer FJEP. D’où une intrigante flèche «FJ » sur la route des circuits allant de 15 à 85 km, un dimanche matin, sous un ciel menaçant et une température fraîche. Ne nous plaignons, au lendemain du mariage princier et pluvieux… de Madrid.

02) A l’Ouest, comme à l’Est, quand on arrive il faut humer l’odeur du pâté qu’on étale sur la baguette de « pain français ». Sandwich et boisson, plus service d’accueil et fléchage en contre-partie d’une cotisation de 2€.



03) Cérémonie traditionnelle d’inscription dans la salle du foyer. Il est presque 9h. Nous partirons avec ceux qui se contentent du 60 ou du 35.

04) Cliché volé : voilà un cyclo très fier de sa nouvelle machine. Machine signée Menet, de Ploegsteert. Le vélociste belge s’est taillé une grosse part du marché du versant Ouest métropolitain.


      Départ vers les Roses


05) Départ parmi les maillots rouges que l’on va accompagner dans un premier temps.

06) De dos, des cyclos de Bas-Warneton, dans l’enclave wallonne, au delà de la frontière française.



07) De face, une autre partie du groupe frontalier.

08) En rouge également l’imposante troupe de Deulémont. La route traverse le cossu Domaine des Vignes de Bondues. La bourgade est célèbre pour ses quartiers résidentiels, son golf, son aérodrome et son refus d’autoroute. Il paraît que mon directeur habite par là !



09) En voilà qui viennent pour rouler. Pas le temps de prêter aux riches !

10) Groupe plus tranquille qui sort des Vignes et passe devant « les Puces ». C’est fou ce que l’on aime les vieilles choses ... quand on a fait fortune. Mais pourquoi il se gratte, mon Directeur?



11) Voilà un exemple de mauvais exemple. En photo il faut cadrer les cyclos devant un beau paysage. Jamais devant des poteaux électriques ! Or, des poteaux électriques…, il y en a partout !

12) Notre parcours emprunte la « Route des Gabelous ». Le « gabelou » c’est le nom donné, avec affection, aux douaniers. En souvenir de leurs ancêtres qui poursuivaient les contrebandiers échappant à la sinistre « Gabelle » d’avant la révolution. Un impôt sur le sel ! Et pourquoi pas sur le tabac, l’alcool et l’essence… ?



13) Le "Gabelou" est devenu popualire car il ne rattrapait pas souvent le contrebandier. Or c'est le président du club de Mouvaux que je rattrape ici. A chacun son rôle.

14) La frontière est proche quand on est, comme ici, à Werwicq-Sud. A Werwicq Nord on serait en Belgique.



15) Allez courage. Une Mouvalloise, donc de Mouvaux, le club le plus nombreux qui avait choisi d’avantager Bondues et non les Cœurs Joyeux de Roubaix Nord-Touriste.

      Bouquet fleuri...

16) Des Roses ? Pour l’instant, c’est Iris. Avec passage de cyclos qui embellit le cadre enchanteur.



17) Le propriétaire serait enchanté de voir ce qu’on fait de son parterre : « C’est tellement beau que certains ne se gênent pas pour couper mes fleurs. » C’est pas nous.

18) Des Roses ? Pour l’instant, c’est Persil. Du moins c’est comme cela que j’appelle ces fleurs sauvages qui garnissent nos bords de route. Longue montée pour ce couple de cyclos tranquilles.



19) Autre cyclo tranquille qui nous met du soleil jaune dans le paysage de Bousbecque. Et qui « remercie pour la photo ».

20) Sur la plus longue montée de cette agréable sortie dominicale, en guise de bol d’air.



21) Bien entendu le hameau du Petit Paris n’a rien à voir avec le Grand Paris capitale. Sauf que, jadis, y habitait un gars qui se vantait d’avoir visité Paname ?

22) On revient sur Linselles. Et mon incognito en prend un coup : « Mais c’est Fignon qui nous prend en photo ! »



23) Des Roses ? En voilà enfin ! Mais pas facile de les mettre premier en plan avec des cyclos en action.

24) Des Roses ? Je vous en offre une. Elle n’est pas de Bondues, mais Linselles c’est tout près !


      Des Roses, grandeur nature, je rêve ou quoi?


25) Des Roses ? En voilà deux autres. Rouge, rouge…

26) Des Roses ? Mais c’est tout un bouquet que Michel Morelle, des CCC Wasquehal, devra offrir à Annie. C’est avec moi qu’elle a fait les courses : marché aux légumes le dimanche matin à Bondues.



27) Arrivée au Foyer. L’heure du sandwich et de la boisson.

28) Après l’effort, le réconfort… comme dit l’autre.



29) Dans la salle du Foyer les cyclos de Mouvaux attendent qu’on leur remette la coupe du plus nombreux.

30) Les plus costauds arrivent seulement quand je repars. Il est 10h45 à l’église de Mouvaux. Les rapides du 85 vont seulement arriver. Je loupe Christian Palka, le cyclo des ondes qui arrive à 11h. Mais je suis trop pressé : on m’attend à manger !




Bien entendu les randonnées du dimanche matin sont toutes du même genre. Et les cyclos aussi. Mais les maillots diffèrent. Alors il faut toujours apprendre à se connaître.


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